En voilà un titre d’article qui en dit beaucoup sur mon état d’esprit quand j’ai vu dans le petit cahier de correspondance de ma princesse que cette année à l’école, ma fille ne fêtera pas la fête des pères ni celle des mères d’ailleurs.
J’ai mis une semaine avant d’écrire cet article. Comme toute mauvaise nouvelle, il faut se laisser du temps pour l’encaisser, la comprendre et voire même l’analyser.
Retrouvez dans ce billet ce que je pense de tout ça.